Lorsque les mesures de maintien de la vie sont retirées, le patient décède naturellement de sa maladie sous-jacente. Le retrait de ces mesures contribue indirectement au moment du décès du patient, mais c’est la maladie sous-jacente (le processus pathologique contré par les mesures de maintien de la vie) qui est la véritable cause du décès. Le simple retrait des mesures de maintien de la vie n’est pas en soi capable de provoquer la mort.
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