Bien que l’aide à mourir puisse être motivée par de bonnes intentions (par exemple, le désir de mettre fin à la souffrance), mettre fin à l’existence d’une personne revient à nier la bonté inhérente et inconditionnelle de son existence et, par conséquent, à nier la valeur inhérente et inconditionnelle de sa personne. La mort assistée se préoccupe davantage de la souffrance de la personne que de la personne elle-même. On ne peut pas faire preuve d’amour en mettant fin à l’être aimé.
