« Quant à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés, que vous pratiquiez autrefois conformément à la façon de vivre de ce monde, conformément au prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui est actuellement à l’oeuvre parmi les hommes rebelles. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre: notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres. » (Ephésiens 2 : 1-3)
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« marqué par le péché ».
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« conçu dans le péché ».
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« coupable depuis ma naissance ».
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« sans espoir, sans Dieu dans ce monde ».
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« ennemi de Dieu »
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« exclus des bien-aimés »
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« enfant de la colère de Dieu »
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« étranger aux promesses ».
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
« perdu, aveugle, rebelle, trompé ».
Je suis heureux que mon histoire ne s’est pas terminée sur
Une condamnation.
Je suis heureux que
Tu m’aies choisi.
Je suis heureux que
Tu m’aies cherché.
Je suis heureux que
Tu m’aies appelé.
Je suis heureux que
Tu m’ aies ouvert les yeux.
Je suis heureux que
Tu m’aies pardonné.
Je suis heureux que
Tu m’aies reçu et accepté.
Je suis heureux que
Tu sois toujours avec moi.
Je suis heureux que
Tu me donnes ta force.
Je suis heureux que
Tu me transformes petit à petit.
Je suis heureux que
Tu me donnes ta sagesse.
Je suis heureux que
Tu m’encourages par tes promesses.
Je suis heureux que
Tu me guides par tes commandements.
Je suis heureux que
Tu me gardes.
Je suis heureux que
Ton amour pour moi n’a pas de fin.
Et je suis heureux de ce que grâce à toi,
Je peux me réjouir
Aujourd’hui,
Demain,
Et tous les jours,
Jusque dans l’éternité.
« Ceux que l’Eternel aura libérés reviendront, ils arriveront à Sion avec des chants de triomphe et une joie éternelle couronnera leur tête. Ils connaîtront la gaieté et la joie, la douleur et les gémissements s’enfuiront. » (Esaïe 51 : 11)
Autres versets cités dans le poème :
- « Oui, depuis ma naissance, je suis coupable; quand ma mère m’a conçu, j’étais déjà marqué par le péché.» (Psaume 51 : 7)
- « Les méchants sont pervertis dès le ventre de leur mère, les menteurs s’égarent dès leur naissance.» (Psaume 58 : 4)
- « Souvenez-vous qu’à ce moment-là vous étiez sans Messie, exclus du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse, sans espérance et sans Dieu dans le monde.» (Éphésiens 2 : 12)
- « Adultères que vous êtes! Ne savez-vous pas que l’amour pour le monde est synonyme de haine contre Dieu? Celui donc qui veut être l’ami du monde se fait l’ennemi de Dieu.» (Jacques 4 : 4)
Que Dieu vous bénisse,
Paul David Tripp
Pour aller plus loins
- Quand Dieu a-t-il interrompu votre histoire pour vous appeler à Lui ? Quel chemin suiviez-vous alors et en quoi Dieu vous a-t-il sauvé de vous-même ?
- A quelle fréquence repensez-vous à votre salut ? Devriez-vous le faire plus souvent ? En quoi cela devrait-il façonner votre vie chrétienne au quotidien ?
- Qu’est-ce qui montre que vous êtes encore parfois perdus, spirituellement aveugles, rebelles et sujets à la tentation et à la tromperie ? En quoi avez-vous autant besoin de Christ aujourd’hui qu’aux premiers jours de votre vie chrétienne ? Soyez précis.
- A quelle fréquence remerciez-vous Dieu pour ses commandements, ses promesses, sa sagesse et sa grâce ? Pourriez-vous écrire une liste exhaustive de tous les sujets de reconnaissance d’aujourd’hui ? Ou passez-vous trop de temps à vous plaindre ?
- Est-ce que vous proches vous caractériseraient comme quelqu’un de joyeux ? Que pouvez-vous faire pour l’être plus ?
