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« Cette lumière était la vraie lumière qui, en venant dans le monde, éclaire tout être humain. Elle était dans le monde et le monde a été fait par elle, pourtant le monde ne l’a pas reconnue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont pas accueillie. Mais à tous ceux qui l’ont acceptée, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le droit de devenir enfants de Dieu, puisqu’ils sont nés non du fait de la nature, ni par une volonté humaine, ni par la volonté d’un mari, mais qu’ils sont nés de Dieu. Et la Parole s’est faite homme, elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité, et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père. » (Jean 1 : 9-14)


C’était la venue
ultime
par la personne
ultime
pour la mission
ultime
de remporter la victoire
ultime.
Il était n’était égal
à aucun autre,
Dieu fait
chair.
Il était la
Parole,
le message vivant
du salut.
Sa venue était une démonstration
de la gloire de Dieu.
Il était le cadeau ultime
de Dieu,
l’espérance détruite par le péché
serait enfin
rétablie,
les humains seraient enfin réconciliés
avec Dieu.
Cette espérance
reposait sur ses
épaules.

Il a choisi de venir
humblement,
sachant
qu’au-delà de prêcher
la nécessité
d’un sacrifice,
il serait lui-même
ce sacrifice
à notre place pour
justifier
pardonner
réconcilier
restaurer
renouveler.

Dans chaque moment chaque
situation
endroit
relation
la perfection de sa gloire
a rayonnée.
Il n’y avait eu personne
comme lui
si plein de grâce
si plein de vérité.
C’était la venue
ultime
par la personne
ultime
pour la mission
ultime
de remporter la victoire
ultime.
Mais en cette venue
ultime,
l’une des choses les plus tristes
qui fut écrite
se traduit par ces mots
déchirants :

« Elle est venue chez les siens,
et les siens
ne l’ont pas accueillie. »

« Qui a cru à notre prédication? A qui le bras de l’Eternel a-t-il été révélé? Il a grandi devant lui comme une jeune plante, comme un rejeton qui sort d’une terre toute sèche. Il n’avait ni beauté ni splendeur propre à attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé et délaissé par les hommes, homme de douleur, habitué à la souffrance, il était pareil à celui face auquel on détourne la tête: nous l’avons méprisé, nous n’avons fait aucun cas de lui.

Pourtant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé. Et nous, nous l’avons considéré comme puni, frappé par Dieu et humilié. Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes: la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et c’est par ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous comme des brebis égarées: chacun suivait sa propre voie, et l’Eternel a fait retomber sur lui nos fautes à tous.

Il a été maltraité, il s’est humilié et n’a pas ouvert la bouche. Pareil à un agneau qu’on mène à l’abattoir, à une brebis muette devant ceux qui la tondent, il n’a pas ouvert la bouche. Il a été enlevé sous la contrainte et sous le jugement, et dans sa génération qui s’est inquiété de son sort? Qui s’est soucié de ce qu’il était exclu de la terre des vivants, frappé à cause de la révolte de mon peuple? On a mis son tombeau parmi les méchants, sa tombe avec le riche, alors qu’il n’avait pas commis de violence et qu’il n’y avait pas eu de tromperie dans sa bouche.

L’Eternel a voulu le briser par la souffrance. Si tu fais de sa vie un sacrifice de culpabilité, il verra une descendance et vivra longtemps, et la volonté de l’Eternel sera accomplie par son intermédiaire. Après tant de trouble, il verra la lumière et sera satisfait. Par sa connaissance, mon serviteur juste procurera la justice à beaucoup d’hommes; c’est lui qui portera leurs fautes. Voilà pourquoi je lui donnerai sa part au milieu de beaucoup et il partagera le butin avec les puissants: parce qu’il s’est dépouillé lui-même jusqu’à la mort et qu’il *a été compté parmi les criminels, parce qu’il a porté le péché de beaucoup d’hommes et qu’il est intervenu en faveur des coupables.

(Esaïe 53)

Que Dieu vous bénisse,

Paul David Tripp


POUR ALLER PLUS LOIN

  1. Souvenez-vous d’un moment où vous avez attendu avec impatience l’arrivée de quelqu’un (époux, enfant, parent, ami) après une longue absence ou séparation. Pourquoi étiez-vous aussi pressé ? En quoi la présence de cette personne était-elle précieuse ?
  2. En quoi la venue de Christ a-t-elle radicalement changé votre vie ? En quoi est-il le cadeau ultime ? Soyez précis et nommez toutes ces bénédictions.
  3. Relisez Esaïe 53 et faites la liste de tout ce que Jésus a porté pour vous ? En quoi cela rend-il la venue de Jésus encore plus importante ? Quelle devrait être votre réponse ?
  4. De quelles manières avez-vous rejeté, méprisé et refusé de recevoir Christ ? Pas en ce qui concerne le salut mais plutôt votre manquement à lui soumettre tous les aspects de votre vie. Sur quoi l’empêchez-vous de régner ?
  5. Comment pouvez-vous vous approcher plus près de votre Sauveur ? Que pouvez-vous faire pour que le sacrifice de Jésus soit le sujet principal de votre reconnaissance ?

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