Un Dieu que je pourrais aimer: La phrase qui a révélé le Père
Enfant, j’avais une réaction presque physique au mot Dieu. Pour moi, il s’agissait d’un mot à arête vive qui tranchait sur tous les autres. Lorsqu’il était prononcé, je me sentais à la fois scruté et déstabilisé. Il faut dire que j’en savais assez pour comprendre pourquoi la prononciation de ce mot me faisait je me sentir scruté. Je réalisais que Dieu était élevé et saint; moi, je ne l’étais pas. Mais pourquoi étais-je déstabilisé? Cette question allait me tarauder pendant des années. Ce n’était pas seulement parce que Dieu me transcendait. Ce n’était pas seulement sa perfection éblouissante. Je n’avais...