Faut-il composer plus de cantiques francophones ?
La plupart des chants de nos assemblées sont des traductions. Avec un volume de production si vaste, il n’est pas surprenant que les chants anglophones se répandent, avec des pépites qui sortent du lot de manière régulière. Parfois, les traductions que nous chantons sont de qualité, parfois non. Parfois, elles sont légales, parfois non. C’est un terrain complexe. Mais soyons honnêtes, nous ne pouvons pas rivaliser avec une si riche abondance qui nous arrive de l’étranger. En revanche, le nombre de compositeurs francophones recensés à la LTC[1] en France est infime. Ces cinquante dernières années n’ont pas été les plus...