Transcription réalisée de manière automatique, merci de vous référer à l’original avent toute citation
Le créateur de l’univers tient toutes choses par sa parole puissante, les galaxies jusqu’aux petits grains de sable.
Il gouverne tous les détails de votre vie, la chute des nations, la chute de tous les oiseaux qui peuvent mourir.
Ce Dieu a comme but de toute éternité de réconcilier les ennemis, d’attirer les adorateurs.
Il a un plan par votre bouche.
Écoutons donc ce que Paul exprime dans 2 Corinthiens, chapitre 5, verset 20.
Nous sommes donc ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous.
Nous vous en supplions au nom de Christ.
Soyez réconciliés avec Dieu.
Pensez-y un instant.
Le créateur de l’univers, c’est lui.
Il y a Christ, qui pourvoit au fondement et à la base, par sa mort et sa résurrection, pour nos péchés, sa victoire sur la mort, et il y a votre bouche.
Et quand vous ouvrez votre bouche, et quand vous dites à un ami, à une nation, ou encore, soyez réconciliés avec Dieu au nom de Jésus.
Dieu parle lorsque vous faites cela.
Dieu envoie son appel envers les gens.
Et ça, c’est tout à fait surprenant.
Vous prenez Christ, vous prenez ce trésor, vous prenez son salut magnifique.
Vous ouvrez votre bouche et merveille des merveilles, Dieu fait son appel, envoie son appel.
Soyez réconciliés avec Dieu.
Et c’est comme ça que nous faisons des nations jusqu’à ce que la mission soit terminée, toujours par en disant, soyez réconciliés avec Dieu.
Alors, vous êtes la voix de Dieu.
Mais n’essayez pas de fuir en disant, oh, mais ça, ces paroles étaient pour les apôtres seulement.
Écoutez ce que Pierre nous dit dans 1 Pierre chapitre 2, verset 9.
Vous, vous par contre, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple racheté, afin d’annoncer les vertus, vous les croyants, d’annoncer les vertus de celui qui vous a appelé des ténèbres à son admirable lumière.
Vous êtes la voix des choses excellentes de Dieu, c’est ce que vous êtes.
Ce n’est pas un appel missionnaire, c’est une identité chrétienne ici.
Vous le possédez ou vous n’êtes pas chrétien, tout simplement.
Donc, ma prière pendant ces messages, pendant cette conférence, pendant ces jours, avec ce thème global, est que Dieu, à travers toutes ces plusieurs milliers de personnes ici, puisse toucher vos cœurs, toucher votre vie, et même prendre votre vie, le mode dans lequel vous êtes, et la rediriger de façon à ce que vous puissiez passer le restant de votre vie à ouvrir votre bouche envers les gens qui ne sont pas atteints dans ce monde.
Alors, il y a plusieurs centaines ici.
Et tout le reste, que vous soyez tellement touchés par cette entreprise divine que vous passez le restant de votre vie à célébrer et soutenir cette mission.
Et ça sera fait, ça s’accomplira.
Alors, qu’est-ce que je peux faire maintenant, dans les 20 minutes qui suivent, ou approximativement 20 minutes?
Comment est-ce que nous pouvons être un moyen pour faire ceci?
Alors, voici ce que je vais faire.
Je vais tenter de vous démontrer, dans l’évangile de Jean surtout, comment Dieu va utiliser votre bouche pour créer des adorateurs par Dieu dans les nations, à travers les nations.
Parce que si vous voyez comment Dieu le fait, vous êtes enclés à vous joindre à son œuvre.
Alors, commençons avec Jean 4, 23, alors que Jésus parle à la Samaritaine.
Alors, on est au verset 23 de Jean chapitre 4.
Jésus dit que l’heure vient.
C’est maintenant où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, car ce sont de tels adorateurs, et voici comment ça va se passer, ce sont de tels adorateurs que le Père recherche.
Donc, la raison pour laquelle, ou selon laquelle il y aura de vrais adorateurs, que ce soit sur le monde guérisime ou ailleurs, ou peu importe, toutes autres montagnes dans ce monde ou des vallées, peu importe l’endroit, la raison pour laquelle ceci va s’accomplir, c’est parce que Dieu cherche des adorateurs en esprit et en vérité.
Maintenant, Dieu ne cherche pas comme on recherche du chocolat ou des oeufs de Pâques lors de la fête de Pâques, une course aux oeufs.
Dieu cherche ses adorateurs parce qu’ils lui appartiennent.
Ils sont les siens et il a l’intention de les posséder.
Il les prend là où ils sont.
Il veut avoir tout leur cœur et il va avoir des adorateurs pour l’éternité.
Alors, c’est absolument crucial ce verset-là qui sort de la bouche de Jésus dans Jean chapitre 17, verset 6, alors qu’il parle à son Père.
Il dit « J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu m’as donnés du milieu du monde.
Ils étaient à toi et tu me les as donnés et ils ont gardé ta parole.
Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi.
» Donc, Dieu charge des adorateurs parce qu’ils sont les siens.
Aujourd’hui, maintenant, il veut les avoir maintenant.
Ils étaient les siens.
Dieu les avait choisis comme Paul dit dans Ephésiens chapitre 1, avant même la fondation du monde, mais comment le fait-il?
Comment Dieu s’y prend-il pour aller chercher des siens?
Jésus dit, « Père, ils sont à toi de toute éternité et un jour, il va y avoir une foule de toutes tribus, de toutes langues qui vont t’adorer pour l’éternité à la consommation de l’histoire et pendant, entre ces deux périodes, il y a ta voix, ta bouche.
» C’est la réalité.
C’est la façon selon laquelle il s’y prend.
Ta bouche, c’est ce but divin, ces possessions divines jusqu’à la consommation de l’histoire.
C’est comme ça.
C’est par ta bouche et tout ce peuple qui va être réuni devant lui va l’adorer.
Alors, pour répondre à cette question, comment Dieu, comment tu prends-tu, Seigneur, pour prendre le premier et amener la consommation de toutes choses?
Avec la bouche au centre, la bouche de ton peuple, comment tu prends-tu, Seigneur, pour faire ça?
Alors, pour l’expliquer, il y a différentes façons de l’expliquer, mais si on prend avec l’évangile de Jean, nous avons besoin d’expliquer la relation entre l’adoration ou adorer, entre le verbe adorer et croire.
Quelle est la connexion entre les verbes adorer et croire?
Et la raison pour laquelle, qui me pousse et qui pèse sur mon corps, c’est parce que quand on regarde Jean 4, 23, Dieu cherche des adorateurs, et tout livre de Jean nous dit, chapitre 20, verset 31, on nous parle de croire.
Pourquoi adorer?
Pourquoi croire?
Jean 20, 31, ceci qui était écrit, Jésus, tout ce que Jean a écrit dans ce livre, ceci est écrit afin que vous croyez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom.
Alors, quelle est la relation entre ce qu’il cherche, des adorateurs, et le but du livre, de croire?
Quelle est la relation entre les deux?
Est-ce que ce sont les mêmes?
Est-ce qu’ils se superposent?
Est-ce qu’un suit l’autre?
Et voici ma réponse condensée, très résumée, très très résumée, très brève.
Vous allez voir, il y a un fait très frappant dans l’évangile de Jean.
Je ne peux pas en revenir, en fait.
Mon épouse, lorsqu’elle était aux études, au collège, elle avait un livre qui disait, dont le titre, Jean, l’évangile de la foi.
Savez-vous que Jean n’utilise jamais le mot foi dans son évangile?
Ou même le mot foi ou croyance?
Jamais.
C’est un nom.
Il utilise le verbe croire 98 fois.
Paul utilise le terme 182 fois, lui, le verbe 54 fois et le mot foi 182.
Mais ça ne peut pas être, ce n’est pas un accident.
Pourquoi, Jean, qu’est-ce qui se passe, Jean?
Pourquoi n’utilises-tu pas le mot foi ou croyance?
On va essayer de le comprendre ensemble.
Il nous faut comprendre entre la relation, entre l’adoration et la foi ou le fait de croire.
Je crois que l’explication est la suivante.
Jean veut mettre l’accent pour nous sur le fait que croire est une action, non pas du corps.
Enlevez ça.
Ce n’est pas en devant les mains, ce n’est même pas parler.
Les actions du corps sont des effets de croire, mais ce n’est pas la foi elle-même.
Croire, c’est un acte de l’âme ou du cœur.
Donc, les actions du corps, si vous jouez du piano ou vous chantez, sont des effets de ce que vous croyez.
Le cœur, lui, croira.
C’est ce qui se passe là.
Ça, c’est croire.
Alors, de quoi s’agit-il?
Et cette question doit être répondue.
Alors, dans Jean 1, 11, n’est-ce pas, lorsque Jean 1, 11 et 12, elle est venue chez les siens à la parole.
Les siens ne l’ont pas reçue, mais ceux qui l’ont reçue, elle a donné, c’est-à-dire la parole, Jésus-Christ a donné le pouvoir de devenir enfant de Dieu.
Donc, de croire, de le recevoir, ce sont des actions positives, des termes grammaticaux qui sont synonymes, qui sont les mêmes, en fait, à tous ceux qui l’ont reçu, virgule, qui croient son nom, il a donné le pouvoir de devenir enfant de Dieu.
Croire, dans l’évangile de Jean, c’est de le recevoir.
Christ, je te reçois, je te souhaite la bienvenue, je t’embrasse.
Mais de quelle façon?
Est-ce que c’est juste un billet pour m’épargner de l’enfer sur lequel je suis assis pendant une soixantaine d’années?
Non, je ne crois pas.
C’est beaucoup plus que ça.
Est-ce que c’est un fabricant de miracles pour garder mes enfants tranquilles, ou qu’ils croient, et puis mon épouse heureuse?
Et puis, si je ne le fais pas, c’est une faillite?
Alors, est-ce que c’est accepter puis recevoir, puis donner un billet pour le ciel?
Est-ce que c’est ça, de croire?
Est-ce que croire, c’est plus que ça?
Ce n’est pas simplement recevoir Christ.
Il faut que ça produise un changement.
Voici la réponse de Jésus.
Peut-être que vous voulez répondre, la réponse, c’est le Sauveur.
Oui, Jésus, le Sauveur, mais, ou le Seigneur.
Le diable, c’est qu’il est le Seigneur, puis qu’il est le Sauveur, mais ce n’est pas là où j’en vais.
Voici ce que j’en, au chapitre 6, verset 35.
« Je suis le pain de vie.
Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif.
» N’aura jamais soif.
Comment définiriez-vous, quelle définition donnez-vous à croire, d’après ce verset?
Dans l’Évangile de Jean, croire, c’est l’âme qui mange, qui boit tout ce que Dieu est pour nous en Jésus-Christ.
Avec la découverte, alors que vous mangez, que vous buvez, que vous recevez qui il est, vous goûtez à qui il est, alors que vous croyez, que vous voyez ce qu’il fait, vous découvrez que votre repos est terminé, c’est terminé maintenant.
Votre recherche, votre quête est terminée.
C’est tout ce que vous vouliez, dont vous rêviez en fait.
Vous avez trouvé la satisfaction.
Christ est ma satisfaction, mon trésor.
Je le crois.
Vous êtes un croyant.
Vous vous levez le matin, vous mangez, vous buvez, pour la satisfaction de votre âme, pour que Dieu bénisse votre journée, pour suivre Jésus-Christ, vous avez Christ pleinement, dont vous croyez.
Ma quête, ma recherche est terminée.
Alors, l’essence même de croire dans l’évangile de Jean est de boire et de manger, de le manger, de le boire de façon spirituelle, dans mon âme, pour que Dieu puisse satisfaire mon âme totalement.
Et c’est tellement valable, c’est tellement précieux de goûter et de voyer combien le Seigneur est bon.
Maintenant, si c’est croire dans l’évangile de Jean, qu’en est-il de l’adoration?
Alors, on va sortir un peu, alors on pourrait aller, il faudrait sortir de l’évangile de Jean pour voir la distinction entre l’adoration et entre la différence dans l’adoration.
Mais dans Matthieu, chapitre 15, Jésus dit cette phrase suivante très frappante, « Ce peuple monore délèvre, mais leur cœur, son cœur est très éloigné de moi.
C’est en vain qu’il me rend un culte.
En enseignant des doctrines qui ne sont que préceptes humains, alors ce n’est pas de l’adoration.
Elle leur enseigne des préceptes humains.
Donc, les actions de la bouche, ça se peut que ça soit de l’adoration ou non.
J’aime définir la prédication comme une exaltation exposée.
Si le prédicateur n’exalte pas Christ, ce n’est pas de l’adoration.
Alors, quel est le cœur même de l’adoration?
Est-ce que pendant qu’on lève les mains ou qu’on joue du piano, les actions du cœur qui amènent les actions humaines, qu’est-ce qui transforme tout ça en une véritable adoration?
Et qu’est-ce que Jésus nous dit ici?
On a un indice dans Matthieu 15.
Il y a une image spatiale un peu.
Voici ce qu’il dit.
Ce pape monarde est là, mais son cœur est très éloigné de moi.
Il est très loin de moi.
Il est éloigné de moi.
Qu’est-ce qu’elle veut dire?
Qu’est-ce que signifie cette image spatiale?
Alors, il y a Dieu, mon cœur, ils sont séparés, ils sont éloignés.
C’est tout simple que ça.
Alors, quand tu décris ça dans ton cœur, voici mon essai.
Alors, alors que ton cœur s’éloigne, Dieu devient de moins en moins désirable.
Il n’est plus intéressant.
Il est cruel.
Il me dira, j’aime pas comment tu as traité ma famille.
Alors, Dieu devient loin, devient irréel, ça devient mythologique, c’est légendaire, négligeable, oublié.
C’est ça, s’éloigner de Dieu.
Mes affections, ma vie émotive s’en va dans une autre direction, essayant de trouver beaucoup de satisfaction ailleurs, des choses plus désirables que Dieu lui-même.
Et je pense que c’est ce qu’il veut dire par mon cœur est éloigné de moi.
Les choses qu’on disait, on n’en parle plus, on ne dit plus goûtez et voyez combien l’éternel est bon.
On ne goûte plus.
On n’a plus de goût pour lui.
Notre goût est maintenant pour d’autres choses.
Tu ne peux pas servir Dieu et n’importe quoi, en fait, pas juste maman, mais n’importe quoi.
Alors, ou bien tu as un goût pour Dieu ou tu n’as pas Dieu.
Ou bien Dieu nous satisfait.
Sinon, notre adoration ne glorifie pas Dieu.
Alors, à la fin, vous voyez où je m’en vais avec tout ça.
Alors, quand vous arrivez dans l’essence de l’adoration et l’essence de la foi, les deux vous arrivez à la même place.
Dans l’évangile de Jean, l’essence des deux est la même, à la fois de l’adoration et de la croyance et de la foi.
Le Père cherche, Jean 4, 23, le Père cherche des adorateurs.
Jésus, dans Jean 10, 1, cherche des adorateurs et l’autre cherche des brebis.
Donc, croire, c’est plus que de boire ou de manger, c’est plus que ça.
Et tu devrais, John, parler peut-être de céder à la Seigneurie de Jésus.
Oui, oui, c’est vrai, mais ce n’est pas de ça dont je parle.
Je viens à une autre dimension, à un autre noyau plus auquel Jean nous réfère et Jean est plus préoccupé par ça.
Et quand je néglige ceci, je peux croire que je suis un chrétien alors que je ne le suis pas.
Alors, comment Dieu passe d’un peuple de toute éternité à la fin de l’histoire, la consommation de toutes choses avec des gens de toutes natures, de toutes tribus et avec votre bouche dans le milieu, comment Dieu joint-il les deux par votre bouche?
Alors, je vais vous parler d’un terme controversé, mais c’est un des textes les plus importants missionnaires dans l’évangile de Jean.
Dans Jean 10, verset 16, Jésus dit « J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie, celles-là il faut aussi que je les amène, il faut aussi que je les amène, elles entendront ma voix.
Il y aura un seul troupeau, un seul berger.
» C’est le coup de tonnerre de la voix de Jésus, alors contre toute ethnocentrique de gens qui exaltent une nation quelconque au-dessus, au-delà de toutes les soignetés célestes.
Quand on se sent bien à l’aise et confortable avec notre…
Mais là, Jésus nous dit, avec une voix du tonneur, « J’ai des gens qui ne sont pas de votre bergerie, qui ne sont pas de votre ethnie, qui ne sont pas dans votre église, qui ne sont pas dans votre nation, qui ne sont pas de votre troupeau, encore, ils ne sont pas encore arrivés.
Je les ai, elles sont les miennes.
Elles sont là-bas, elles sont à l’extérieur, mais elles sont les miennes.
Elles me feront entendre, je vais faire entendre ma voix par votre voix, elles vont entendre ma voix par votre voix.
Elles vont venir à moi, elles vont boire, elles vont manger, et avoir la vie, et elles vont m’adorer pour l’éternité.
Donc, voici le lien de retour à la femme samaritaine dans Jean 4.23.
Rappelons-nous, ce n’est pas certainement très évident, mais au début du chapitre 4, alors que Jésus va rencontrer cette femme de façon incroyable, Jésus dit, ou c’est Jean plutôt qui dit, il fallait, au verset 4, Jean 4.4, il fallait qu’il traverse la Samarie.
Non, il n’y avait pas à traverser la Samarie, on le sait, au niveau géographique, on le sait très bien.
Les Juifs ne passaient pas par la Samarie, ils contournaient la Samarie pour se rendre.
Non, il n’y avait pas de lien entre les deux, n’est-ce pas?
On le sait, au verset 9.
Mais, Jean, c’est comme, c’est le même « il faut ».
En grec, c’est exactement le même mot.
Il faut que, dans Jean 10, j’ai des gens qui ne sont pas de cette bergerie, alors il faut que je les amène, je dois les amener, je vais en faire des adorateurs, je vais en faire des croyants.
C’est ce que je fais, il faut que je les amène, il faut.
C’est mon appel divin, il fallait qu’ils traversent la Samarie.
Ce n’est pas une nécessité géographique, c’est une nécessité divine.
Dieu devait toucher cette femme.
Dieu avait à cœur cette Samaritaine de toute éternité.
Et Dieu avait l’intention d’en faire une adoratrice.
Alors, Jésus parle pour en faire une adoratrice.
Et de la même façon, vous êtes ici pour faire la même chose, pour trouver des gens.
Alors, qu’est-ce qu’il lui a dit?
Alors, cette femme avait été mariée cinq fois, elle vivait avec un homme.
Ce n’était pas une candidate idéale, n’est-ce pas?
Et voici ce qu’il dit au verset 13.
Jésus dit quiconque boit cette eau aura encore soif, mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif.
Et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle.
Voici ce que Dieu appelle certains d’entre vous à faire.
Elle est en Samarie.
Il n’en voulait pas des Juifs en Samarie.
Ils étaient aussi bienvenus que des Américains au Pakistan en ce moment.
Et pourtant, il y a des centaines parmi vous qui vont aller à des endroits qui ne sont pas hospitaliers.
Elle était là, la femme.
Elle avait été appelée.
Elle était une brebis qui n’était pas encore dans la bergerie.
Et Jésus dit, il faut qu’elle entende, il faut qu’elle entende.
Elles vont venir, elles vont boire, croire.
Jésus voulait qu’elle soit une adoratrice pour tous les jours.
Et un jour, vous ne savez pas qui vous êtes encore, mais un jour, vous serez assis à côté d’un puits dans un endroit inhospitalier et vous allez prier.
Et elle viendra ou il viendra.
Et de votre bouche sortira ses paroles.
Messieurs, madame, j’ai de l’eau à vous offrir, que si vous la buvez, vous n’aurez plus jamais faim ou soif, plutôt.
Vous n’aurez jamais soif.
Et la brebis va entendre la voix du berger par votre voix.
Imaginez.
Et ils vont croire.
J’aimerais terminer avec une illustration.
Le dissonant Peter Cameron Scott, celui qui a fondé la mission à l’intérieur de l’Afrique, IAM, il est né en 1857, il est allé en Afrique.
Il voulait chercher à obéir à Dieu.
Il a attrapé la malaria une fois rendu.
Il a été profondément découragé.
Alors, il est allé voir, là, il est retourné avec son frère, son frère John, et John est mort sur place en Afrique.
Alors, il l’a enterré seul, comme ça arrive tellement souvent dans le champ missionnaire.
Il l’enterre et il se reconsacre au Seigneur.
Et le Seigneur le frappe encore avec la malaria.
C’est très décourageant, n’est-ce pas?
Alors, il s’est dit, qu’est-ce que je vais faire de la providence de Dieu?
Il revient en Angleterre.
Et pendant qu’un moment, il est allé à Westminster.
Il a vu le tombeau dans cette chapelle de David Livingstone.
Il s’est courbé devant, il a regardé l’inscription où il y a écrit, j’ai d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie.
Il faut que je les amène.
Il s’est levé, il est retourné.
Depuis 128 ans, cette mission a été une bénédiction pour des millions de gens en Afrique.
Ça peut peut-être prendre de grandes épreuves pour être fructueux de la sorte.
Donc, elle est là-bas, elle est là, il est là, à l’extérieur.
Et Dieu, dans cette pièce, ou si vous nous regardez en ligne, Dieu va agir, va toucher le cœur de plusieurs.
Il va dire, Seigneur, si c’est comme ça que tu veux le faire, je peux ouvrir ma bouche et je peux le faire.
Alors, Père, viens, notre Dieu, viens, fais cette œuvre.
Il y a beaucoup de gens dans cette conférence qui ne savent pas pourquoi ils sont venus ici.
Mais il y a des gens, des jeunes, il y a des gens dans la soixantaine qui veulent changer la direction de leur vie.
Seigneur, je te prie, parce qu’ils ont goûté que le Seigneur est bon et leur cœur est rempli de foi, de croix.
Ils veulent croire et ils sont remplis d’adoration.
Seigneur, fais-nous déborder envers les nations.
Fais de cette conférence, dans les prochaines heures, efficace pour ce but.
Je te le demande au nom de Jésus.
Amen. !