La jalousie de Dieu
Définition
La jalousie de Dieu est l’engagement saint que Dieu a vis-à-vis de son honneur, de sa gloire et de son amour qui se manifeste dans le salut de son peuple et dans la juste condamnation de tout ce qui se dresse en opposition face à lui.
Résumé
Dans cet essai nous commencerons en définissant la jalousie de façon générale avant de nous tourner vers les Écritures pour considérer ce qu’elles enseignent sur la jalousie de Dieu. En passant du texte au concept nous expliquerons ce que la Bible entend par la jalousie de Dieu puis nous en tirerons les conséquences nécessaires pour les chrétiens.
Souvent, quand les gens pensent à la jalousie, ils se représentent une puissante émotion humaine qui peut faire bien du mal si elle n’est pas maîtrisée ou contrôlée. La jalousie n’est pas quelque chose qui vient immédiatement à l’esprit quand on pense à Dieu, à moins d’avoir lu la Bible attentivement. Lorsque nous lisons la relation d’alliance de Dieu avec la nation d’Israël et que nous voyons comment elle s’accomplit ultimement dans sa relation avec l’Église, nous découvrons que la jalousie de Dieu est un thème important et un aspect nécessaire du caractère de Dieu qui est plein de majesté, saint et aimant. Comme James Montgomery Boice l’a dit : « Lorsqu’elle est bien comprise, l’idée de jalousie est centrale dans toute juste conception de Dieu » (Boice, The Sovereign God, vol. 1 de Foundations of the Christian Faith [Downers Grove: InterVarsity Press, 1978], 164, trad libre). Cependant, pour comprendre et apprécier cette affirmation de Boice, nous devons examiner ce que les Écritures nous disent de la jalousie divine et explorer ensuite la façon dont cette doctrine affecte nos vies.
Définitions de la jalousie
Les définitions que les dictionnaires nous donnent de la jalousie sont constamment uniformes et font souvent la distinction entre la variété humaine de la jalousie et celle qui est censée caractériser Dieu. La jalousie humaine est décrite comme un « sentiment de ressentiment à l’égard de quelqu’un en raison de sa rivalité, de son succès ou de ses avantages. Elle se caractérise par des craintes suspectes ou un ressentiment envieux, ou en découle » (traduction littérale de Dictionary.com). Une autre définition parle d’un « sentiment ou l’expression d’un ressentiment envieux à l’égard de quelqu’un, de ses réalisations, de ses possessions ou des avantages qu’il perçoit » (traduction littérale de Oxford Dictionary of English, Second Edition, 929). Ces deux définitions mettent en évidence les aspects négatifs de la jalousie.
En même temps, ces mêmes dictionnaires reconnaissent aussi que la jalousie humaine n’est pas toujours négative. Aussi, par exemple, ils parlent de la jalousie comme d’une « vigilance à maintenir et protéger quelque chose » (Dictionary.com) ou comme le fait d’être « farouchement protecteur des droits ou des biens de quelqu’un » (Oxford Dictionary) ou comme étant « une vigilance pleine de zèle » (Merriam Webster). Cette autre composante de la jalousie nous rapproche de la jalousie telle qu’elle s’applique à Dieu, que les dictionnaires expliquent comme étant son « intolérance à l’égard de l’infidélité ou de la rivalité » (Dictionary.com) ou comme « l’exigence de fidélité et d’adoration exclusives » (Oxford). Aussi utile que puissent être ces définitions comme point de départ, elles n’en exigent pas moins que nous revenions aux Écritures et que nous nous enquérions de la manière dont Dieu parle de sa jalousie et de ce que cela signifie exactement pour les êtres humains en général et pour les croyants chrétiens en particulier.
Contexte biblique et références
Les premières fois que la jalousie est nommée dans la Bible, il est question d’une jalousie humaine pécheresse. Dans Genèse 30:1, Rachel est jalouse de sa sœur Léa dans la bataille que les deux femmes se livrent pour gagner l’affection de leur mari Jacob. Plus tard, dans Genèse 37:11, on nous dit que les fils de Jacob étaient jaloux de leur frère Joseph parce que Jacob favorisait le premier fils de sa femme préférée. Cette jalousie fraternelle a joué un rôle important dans la trahison de Joseph par ses frères et dans l’esclavage qui en a résulté en Égypte, même si Dieu était à l’œuvre pour sauver toute la famille. Ce qui est important pour notre étude de la jalousie de Dieu, c’est que la jalousie, bien qu’humaine et pécheresse, apparaît d’abord dans le contexte de relations familiales qui sont dysfonctionnelles parce que les personnages principaux se sont rebellés contre la volonté de Dieu en ce qui concerne le mariage et la famille, telle qu’elle est révélée dans Genèse 2:24. Suivant ce modèle de base, ce qui est révélé par la suite au sujet de la jalousie de Dieu sera lié au péché humain et à la violation d’une relation d’alliance matrimoniale, tout comme le fait que ces réalités seront transcendées par la grâce souveraine de Dieu.
La première référence à la jalousie de Dieu apparaît en Exode 20:5-6 : « Tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas, car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. Je punis la faute des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me détestent, et j’agis avec bonté jusqu’à 1000 générations envers ceux qui m’aiment et qui respectent mes commandements ». Cette révélation de la jalousie de Dieu se produit au Mont Sinaï où Dieu fait une alliance avec les enfants d’Israël qu’il a sauvés de l’Égypte. Dans cette partie de la loi de l’alliance, la jalousie est la raison pour laquelle les enfants d’Israël doivent se détourner de l’idolâtrie, aimer le Seigneur de façon exclusive et obéir à ses commandements.
La deuxième fois que nous entendons parler de la jalousie de Dieu, correspond au moment où il renouvelle son alliance avec Israël après qu’ils l’aient violée par leur culte idolâtre rendu à un veau d’or qu’ils étaient encore en train de mettre en place (Exode 34:14 – cf. Exode 32). À cause de leur trahison scandaleuse, Dieu a menacé de détruire Israël, mais Moïse a intercédé et Dieu a pardonné leur péché et a accepté de marcher au milieu d’eux, bien qu’il ait d’abord refusé de le faire. Moïse a été encouragé par son expérience de la grâce de Dieu et s’est enhardi à demander une vision de la gloire de Dieu. Dieu a, dans sa grâce, accepté de laisser Moïse voir sa gloire et de réécrire la loi de l’alliance sur des tables de pierre, rétablissant ainsi l’alliance (cf. Exode 33-34). Comme dans l’alliance originelle, le Seigneur met en garde Israël contre l’idolâtrie et interdit à son peuple de suivre la voie des nations. Ils ne doivent adorer aucun autre dieu « car le Seigneur, dont le nom est Jaloux, est un Dieu jaloux ».
Dans le Deutéronome, la jalousie de Dieu est rappelée à Israël au début et à la fin du livre. En Deutéronome 4, Moïse prépare une nouvelle génération d’Israélites à entrer dans le Pays Promis après sa mort. Il les presse de ne pas oublier l’alliance que le Seigneur, leur Dieu, a faite avec eux, alors qu’ils avaient fabriqué une image sculptée d’une forme quelconque, ce que Dieu avait interdit : « En effet, l’Éternel, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux » (v. 24). La même chose est dite en Deutéronome 6:14-15 en ce qui concerne le fait d’aller après les dieux des peuples qui les entoureront : « car l’Éternel, ton Dieu, est un Dieu jaloux au milieu de toi. La colère de l’Éternel, ton Dieu, s’enflammerait contre toi et il t’exterminerait de la surface de la terre ». Vers la fin du livre, Moïse revient à ce thème, cette fois pour avertir les membres du peuple de veiller sur leur cœur aussi bien que sur leur conduite. Si le peuple marche dans l’obstination de son cœur, « L’Éternel ne voudra pas lui pardonner. Au contraire, la colère et la jalousie de l’Éternel s’enflammeront alors contre (lui), toutes les malédictions écrites dans ce livre reposeront sur lui, et l’Éternel effacera son nom de dessous le ciel » (29:19). La jalousie de Dieu est mentionnée une dernière fois dans le Cantique de Moïse, une fois encore en relation avec l’idolâtrie : « Ils ont excité sa jalousie par des dieux étrangers, ils l’ont irrité par des pratiques abominables ; … Ils ont provoqué ma jalousie par ce qui n’est pas Dieu, ils m’ont irrité par leurs idoles sans consistance » (32:16, 21).
À la fin de sa vie, Josué rappelle à Israël une vérité gênante qu’il ne veut pas entendre : « Vous ne serez pas capables de servir l’Éternel, car il est un Dieu saint, il est un Dieu jaloux. Il ne pardonnera pas vos transgressions et vos péchés. Lorsque vous abandonnerez l’Éternel et que vous servirez des dieux étrangers, il se retournera contre vous et vous fera du mal, et il vous fera disparaître après vous avoir fait tant de bien » (Josué 24:19-20).
D’autres références de l’Ancien Testament (par exemple : 1 Rois 14:22 ; Psaumes 78:58; Psaumes 79:5 ; Ézéchiel 8:3-5; Ez 16:38, 42; Ez 23:25; Ez 36:5ss; Ez 38:19; Ez 39:25; Joël 2:18; Nahum 1:8; Sophonie 1:18; Soph 3:8) sont en cohérence avec les références antérieures à la jalousie de Dieu, même si, dans les prophètes, un nouveau thème apparaît. Ce thème qui émerge se rencontre en Ézéchiel où le Seigneur passe de la mise en accusation d’Israël pour ses péchés et ses adultères (Ez 8:3-5 ; Ez 16:38, 42 ; Ez 23:25) à l’ardeur de son zèle contre Édom et les nations qui se sont emparées de son pays et ont pillé ses pâturages (Ez 36 :5ss). Dans son zèle et son ardente colère, le Seigneur viendra au secours de son pays et de son peuple (Ez 38 :19), et il rétablira le sort de Jacob, il aura pitié de tout le peuple d’Israël et il sera jaloux de son saint nom (Ez 39:25). Joël 2:18, Nahum 1:8, Sophonie 1:18 ; Soph 3:8 parlent tous du jugement de Dieu comme l’expression de sa colère jalouse qui va de pair avec le salut ultime de son peuple.
Dans le Nouveau Testament la jalousie de Dieu est mentionnée en 1 Corinthiens 10:22 et Jacques 4:5 en relation avec l’idolâtrie et l’adultère spirituel et les croyants sont exhortés à éviter ces choses qui sont en contradiction avec tout ce que Dieu a fait pour eux en Christ. Au contraire, ils doivent se consacrer à Dieu qui veut qu’ils marchent dans l’humilité et la sainteté devant lui et qu’ils l’adorent et le servent lui seul.
Signification théologique de la jalousie de Dieu
Que veut dire la Bible lorsqu’elle affirme que Dieu est un Dieu jaloux ? Quoi qu’il en soit, cela ne peut pas faire référence ou impliquer qu’il y ait quelque chose de pécheur en Dieu. Dieu est saint et n’est jamais jaloux par péché. Il n’est jamais jaloux parce qu’il serait dans le besoin, avide ou cupide, ou parce qu’il serait paresseux et peu disposé à fournir les efforts nécessaires à l’accomplissement de ses desseins. Dieu n’est pas jaloux parce qu’il éprouve une aversion mesquine pour certains individus et qu’il n’apprécie pas leurs réalisations, ou parce qu’il est frustré par sa position dans l’univers. De telles suggestions sont absurdes !
Wayne Grudem définit la jalousie de Dieu comme : « Dieu cherchant continuellement et ardemment à protéger son propre honneur. » (Wayne Grudem, Théologie systématique: introduction à la doctrine biblique [Charols: Excelsis, 2007], p.207). Pour J. I. Packer : « elle est une réaction sainte face au mal, une réaction moralement juste, bonne et digne de louange […] elle apparait […] comme un zèle louable […], qui s’emploie à préserver quelque chose d’extrêmement précieux. » (J. I. Packer, Connaître Dieu, [Grâce et Vérité : Charols, 1994], p.194). Ces deux explications mettent en évidence des aspects importants de la doctrine biblique de la jalousie de Dieu. En m’appuyant sur leurs déclarations, j’aimerais suggérer que nous soyons en mesure d’envisager la jalousie de Dieu de trois manières : (1) la jalousie de Dieu liée à son honneur et à sa gloire, (2) la jalousie de Dieu et sa sainteté, et (3) la jalousie de Dieu et son amour.
Dieu est jaloux pour son honneur et sa gloire.
Quand les êtres humains cherchent leur propre honneur et leur propre gloire, ils dénient leur spécificité (=être une créature) et tendent dans la mauvaise direction parce qu’ils ont été faits pour glorifier Dieu et pour trouver leur plaisir en lui éternellement (cf. Le petit catéchisme de Westminster). Mais il n’en est pas ainsi de Dieu. Il est infiniment glorieux et digne de notre louange et de notre adoration. Il n’y a personne comme Dieu. Il est totalement auto-suffisant. Il est le créateur incréé qui doit être adoré par tout ce qu’il a créé. Il est en droit d’exiger notre obéissance, notre amour et notre dévouement et, par conséquent, il est légitimement jaloux lorsque nous ne l’adorons pas et ne le servons pas, alors que c’est la meilleure chose que nous puissions faire pour nous-mêmes et pour les autres. Adorer quoi que ce soit ou qui que ce soit d’autre que le Dieu trinitaire de la Bible provoque à juste titre la jalousie du Seigneur et il ne peut en être autrement.
La jalousie de Dieu est également liée à sa sainteté.
Dieu ne se conforme pas à une norme extérieure à lui-même ; il est la norme de ce qui est pur et saint. Dieu est une classe en lui-même, non seulement du point de vue de son être ontologique, mais aussi du point de vue de sa pureté morale. Il n’est pas souillé par le péché et il sait ce qui est juste et bon parce qu’il se connaît lui-même. Lorsqu’il rencontre ce qui est en contradiction avec sa sainteté, il réagit avec colère et il est désireux du fait que, à l’inverse, ce qui est juste et bon soit recherché. La jalousie de Dieu n’est pas le signe d’une faiblesse ou d’un défaut de caractère de sa part, mais elle fait partie de sa sainte omnipotence. Il poursuivra ses saints desseins et, dans son zèle, il accomplira tout ce qu’il a décidé de faire.
La jalousie de Dieu est liée à son amour.
C’est ici qu’on retrouve l’analogie du mariage. L’amour saint et juste sans jalousie est un oxymore. Même au niveau humain, si un mari et une femme s’aiment vraiment, ils éprouveront de la jalousie si cette relation d’amour intime est menacée. Dans un mariage, ce type de jalousie- qui est un sous-produit nécessaire de l’amour (Packer, p.195,196) est évoqué comme un moyen de protéger la relation et de la garder intacte. Elle veut préserver ce qui est précieux et beau. Le mariage humain est modelé sur la relation qui existe entre Dieu et son peuple dans l’Ancienne Alliance et entre Christ et son Église dans la Nouvelle Alliance. De même qu’un mari est jaloux de l’amour de sa femme, de même le Seigneur est jaloux de l’amour de son peuple- l’Israël de Dieu.
Les implications de la jalousie de Dieu
- Du fait que Dieu est un Dieu jaloux, les chrétiens devraient se détourner de tout ce qui provoque sa jalousie. Il n’est pas honnête de dire que nous l’aimons et de vivre en contradiction avec les exigences légitimes qu’il impose à nos vies. Les croyants de toutes les générations sont tenus d’aimer le Seigneur notre Dieu de tout leur cœur, de toute leur âme et de toute leur force (Deut. 6:4-6 cf. Matt. 22:37-38). L’expérience de la rédemption gracieuse de Dieu ne signifie pas que nous pouvons vivre dans l’insouciance ou la rébellion à l’égard de sa volonté pour notre vie. Son amour profond et son engagement envers nous devraient continuellement alimenter en nous le désir de lui plaire en toutes choses.
- Du fait que Dieu est un Dieu jaloux, nous devons l’adorer en esprit et en vérité comme Jésus nous l’a enseigné (Jean 4:24). L’un des nombreux problèmes avec les fausses doctrines est qu’elles font une fausse représentation de Dieu. Toutes les doctrines sont liées à notre vision de Dieu, et lorsque nous nous égarons dans n’importe quel domaine de la vérité chrétienne ( l’autorité des Écritures, la nature trinitaire de Dieu, la personne et l’œuvre de Christ, l’application du salut au croyant, la doctrine de l’Église et le triomphe futur de notre Seigneur) nous dérobons à Dieu sa gloire et nous provoquons sa réprimande et sa discipline. Notre compréhension des Écritures ne sera jamais parfaite tant que nous ne nous tiendrons pas devant lui dans la gloire, mais cela n’excuse pas la paresse et le culte autoproclamé qui est centré sur l’homme plutôt que sur Dieu.
- Du fait que Dieu est un Dieu jaloux, nous devons être passionnément consacrés à sa cause. Nous avons bien des exemples de consécration passionnée dans la Bible. Dans l’Ancien Testament, Phinées (Nombres 25:11-13) et Élie (1 Rois 19:10, 14) furent consacrés avec zèle au Seigneur à une époque de compromission morale et spirituelle. Dans le Nouveau Testament, l’apôtre Paul servit fidèlement le Seigneur qui l’avait sauvé par sa grâce. Il a été tellement transformé qu’il a déclaré à l’église d’Éphèse qu’il « n’attache aucune importance et (je) ne considère pas (ma) vie comme précieuse, pourvu que (j’) accomplisse [avec joie] (ma) course et le ministère que le Seigneur Jésus (m’)a confié : annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu » (Actes 20:24). Notre Seigneur Jésus-Christ surpasse tous les autres : sa consécration à son Père a accompli le Psaume 69, 9 : « Le zèle de ta maison me dévore » (cf. Jn 2, 17). Il a enseigné à ses disciples à prier : « Notre Père céleste ! Que la sainteté de ton nom soit respectée, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel » (Mt 6,9-10). Il n’est donc pas surprenant que les chrétiens soient un peuple : « zélé pour de belles œuvres » (Tite 2:14). Nous ne devons pas être comme l’église de Laodicée qui était d’une tiédeur nauséabonde et qui risquait d’être recrachée de la bouche de Dieu (Apoc. 3:14-21). Au contraire, sachant qui est Dieu, et tout ce qu’il a fait pour nous, nous devrions servir le Seigneur avec joie et nous présenter devant sa présence avec des chants, sachant que le Seigneur, c’est lui qui est Dieu ! C’est lui qui nous a faits, et nous sommes à lui, nous sommes son peuple, et les brebis de son pâturage (Psaume 100).
Lectures complémentaires
- James Montgomery Boice, The Sovereign God, 1 of Foundations of the Christian Faith (Downers Grove: InterVarsity Press, 1978), 164.
- Wayne Grudem, Théologie systématique : introduction à la doctrine biblique [Charols: Excelsis, 2007], p. 206-207.
- I. Packer, Connaître Dieu, [Grâce et Vérité : Charols, 1994], chap 17.
- Richard A. Muller, The Divine Essence and Attributes, vol. 3 of Post-Reformation Reformed Dogmatics: The Rise and Development of Reformed Orthodoxy, 1520-1725 (Grand Rapids: Baker Academic, 2003.
- Charles Haddon Spurgeon, A Jealous God – A Sermon.
- John Piper, The Lord Whose Name is Jealous.