×
Parcourir

Définition

Quand nous parlons des noms de Dieu, nous faisons référence aux appellations, aux titres et aux métaphores au moyen desquels Dieu se révèle dans ses relations avec les hommes. Les différents noms de Dieu font leur apparition lorsque LE SEIGNEUR se révèle à Israël ; cette révélation culmine dans l’Évangile qui s’adresse à tous les peuples, car le nom de Dieu s’y déploie pour inclure le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

Résumé

Les différents noms donnés à Dieu dans la Bible font partie intégrante de la révélation divine. La meilleure façon de les étudier en parcourant l’intégralité du récité biblique est d’utiliser les principes d’interprétation appropriés. Les principaux noms de Dieu, ainsi que de nombreuses autres désignations, sont initialement révélés dans l’Ancien Testament. La Bible fait également des déclarations explicites sur les noms de Dieu, en particulier concernant Son nom personnel YHWH(Yahweh), généralement traduit par « le Seigneur ». Ces noms et leurs fonctions révèlent la nature de Dieu et enseignent à Israël la relation existant entre eux et Dieu. Au fur et à mesure des interventions de Dieu dans l’histoire, il en révèle de plus en plus concernant son nom. Lorsque Dieu agit en Christ, c’est le Dieu nommé dans l’Ancien Testament qui est à l’œuvre. Cela se voit aux noms utilisés, en particulier à l’identification de Dieu par son nom « le Seigneur ». Le nom YHWH de l’Ancien Testament est introduit dans le Nouveau Testament par le nom Kyrios (le mot grec pour « Seigneur »). Avec l’arrivée de l’Évangile, quelque chose de nouveau est révélé au sujet de l’identité de Dieu : Jésus-Christ est inclus dans son nom, ainsi que le Saint-Esprit. La Bible enseigne à l’Église comment tous les hommes, juifs et païens, peuvent entrer en relation avec Dieu dont le nom et l’identité sont Père, Fils et Saint-Esprit.

Introduction

Le nom révèle l’identité d’une personne. Les noms divins dans la Bible font partie intégrante de la connaissance de l’identité de Dieu. Qui est Dieu ? Et à quoi ressemble-t-il ? Connaître Dieu au travers des noms qui lui sont donnés dans les Écritures nous permet de lui faire confiance et d’être fidèles à la mission mondiale donnée à l’Église pour la gloire de son nom.

Principes utiles à l’étude des noms de Dieu

L’étude des noms de Dieu doit prendre en compte des considérations méthodologiques essentielles. Tout d’abord, nous devons prêter attention à ce que les Écritures disent explicitement au sujet des noms de Dieu. Par exemple, Dieu explique son nom à Moïse (Ex 3) ; et dans le Nouveau Testament, il nous est dit que Jésus a reçu le nom qui est au-dessus de tout nom (Phil 2:9-11).

Les principes linguistiques doivent guider notre interprétation des noms de Dieu. Outre l’attention portée au contexte, il nous faut utiliser l’étymologie avec prudence. Il est plus sûr de procéder ainsi lorsque la Bible elle-même le fait. Par exemple, l’Écriture explique la signification de YHWH (Ex 3:15) et celle du nom de Jésus (Matt 1:21).

Nous devrions observer ce que Dieu révèle à propos de son nom. Le Seigneur se révèle d’abord comme El Shaddaï, puis de façon plus complète comme YHWH (Ex 6:2-5). Il s’agit néanmoins du même Dieu. YHWH dit à Moïse qu’il est le Dieu qui a fait alliance avec les patriarches (Ex 3:15). Dans le Nouveau Testament, Dieu révèle que son nom inclut le Fils et l’Esprit (Mt 28:19). Mais ce Dieu unique reste le Dieu des patriarches (Mt 22:32).

Enfin, il convient de noter ce que la Bible ne dit pas au sujet des noms divins. Les Écritures n’enseignent jamais à Israël à utiliser le nom de Dieu comme une amulette ou une formule magique. De même, malgré la déférence pour le nom de Dieu, la Bible ne nous dit jamais de ne pas prononcer ou dire son nom.1

Les noms de Dieu dans l’Ancien Testament

Les noms de Dieu

Les noms hébreux les plus courants pour désigner Dieu sont YHWH (Yahvé), Elohim et Adonay. Il existe de nombreuses formes composées de Yahvé, en particulier Yahvé Sabaoth (« Seigneur des armées »), et des variantes d’Elohim, telles que Eloah, et El avec ses formes composées, en particulier El-Shaddai. Il existe des titres tels que Roi, Créateur, Père, Seul Saint, Rédempteur et Rocher. Ces noms, avec leurs combinaisons variées, et bien d’autres désignations méritent notre attention. Cet essai ne met en lumière que quelques-uns d’entre eux.

Ce que révèlent les noms de Dieu

El, Eloah et le pluriel de la majesté Elohim apparaissent plus de 2500 fois. Ces mots de même famille sont les mots hébreux de base pour désigner la divinité, un peu comme « God » en anglais ou theos en grec. Ce ne sont pas les titres génériques qui donnent forme à l’identité divine, mais les paroles, les œuvres et les voies de Dieu. Allah, par exemple, le mot arabe pour désigner Dieu dans le Coran et la tradition islamique, a une signification particulière, mais la même désignation a une signification différente lorsqu’elle est utilisée par les chrétiens arabophones. Ce sont les actions de Dieu qui confèrent à ses noms leur signification unique.

YHWH est omniprésent dans l’Ancien Testament (6828 fois). Il imprègne aussi indirectement le Nouveau Testament. YHWH peut faire référence à des vérités abstraites, comme l’auto-existence de Dieu, puisque YHWH est issu d’un mot hébreu qui signifie « être »(Ex 3:14). Mais dans son contexte biblique, ce nom nous enseigne que Dieu est personnel, présent et fidèle. YHWH est le nom du Dieu de l’alliance (Ex 6:2-8). Lorsqu’Israël n’est pas obéissant, c’est YHWH qui promet une nouvelle alliance (Jér 31:31-34).

D’autres noms divins ont tendance à se regrouper autour de ce nom. L’expression « Seigneur des armées » (286 fois) est presque toujours associée à YHWH. L’influence du roi David s’est accrue parce que  » l’Éternel, le Dieu de l’univers, était avec lui « (2 Sam 5:10). L’hébreu se lit YHWH Elohim Sabaoth. Le terme « armée » désigne les armées de Dieu, notamment les forces angéliques et les armées d’Israël. YHWH est un roi, un guerrier au pouvoir souverain. Le titre Adon indique également la domination de Dieu ; la forme plurielle Adonay (456 fois) est particulièrement importante, notamment en raison de l’usage juif ultérieur.

Plus tard, les Juifs ne prononceront plus YHWH, préférant l’appeler Adonay ou Hashem (« le nom »). Cependant, la non-prononciation du nom de Dieu s’est développée tardivement. Auparavant, les lévites le prononçaient dans leurs bénédictions (Nombres 6:24-27). Le peuple se souvenait du nom (Ex 20:24 ; 23:13) et prêtait serment en le prononçant (Deut. 6:13). Les Psaumes confirment que le nom de YHWH était prononcé : il est écrit qu’il doit être proclamé (Ps 22:22), béni (Ps 100:4), chanté, loué et exalté (Ps 66:2 ; 7:18).2 Dieu désire une relation d’intimité avec nous et il veut que son nom, bien que saint, soit une source de révélation et de bénédiction.

La désignation de Dieu en tant que Père reflète cette intimité. Dieu identifie Israël comme son fils, signifiant ainsi leur relation d’alliance (Ex 4:22-23). L’échec d’Israël à être fidèle est donc particulièrement pitoyable (Osée 11:1-4). Vers la fin du livre d’Esaïe, on peut lire une confession empreinte de tristesse de la part de Dieu le Père (63:16-17).

Lorsque Dieu fait habiter son nom à un endroit, sa présence s’y trouve (Deut 12:5). Son nom suffit à le représenter.3 Lorsque le nom de Dieu est placé sur une entité, cela marque sa propriété. Le nom de Dieu est placé sur l’arche (2 Sam 6:2), le temple (1 Rois 8:43), Jérusalem (Jer 25:29), et surtout sur son peuple élu (Nombres 6:27).

La réponse du peuple de Dieu à son nom

Le Seigneur a choisi de glorifier son nom en le proclamant sur son peuple (1 Sam 12:22). A leur tour, ils devaient le représenter dans le monde (Ps 29). Le Seigneur a interdit à son peuple d’utiliser son nom en vain (Ex 20:7) ; c’est-à-dire qu’il ne devait pas le citer de manière inappropriée. Leur mission était de porter le nom de YHWH en tant qu’émissaires.4
Mais Israël a échoué. Les prophètes ont donc commencé à évoquer le moment où Dieu rachèterait son peuple et étendrait la gloire de son nom (Ez 36.20-23). Dieu en dévoilerait davantage sur son nom. Son peuple serait appelé d’un nom nouveau (Ésa 62:2) et même les nations porteraient le nom de YHWH (Amos 9:11-12).

Nommer Dieu dans le Nouveau Testament

Alors que Dieu se révélait dans chaque situation nouvelle, Israël apprenait à mieux connaître le Seigneur. Cette révélation a atteint son plein épanouissement avec le dévoilement de la gloire de Dieu en Christ (2 Cor 4:6). C’est là, dans « le nom qui est au-dessus de tout nom » (Phil 2:9), que la nature aimante de Dieu se révèle le plus pleinement.

Nommer le même Dieu

La désignation de Dieu dans le Nouveau Testament implique à la fois une continuité et une discontinuité. Le Dieu qui a parlé autrefois aux patriarches a maintenant parlé par le Fils (Héb 1:1-2). Les noms donnés à Dieu dans le Nouveau Testament confirment cette continuité. Ils reflètent généralement une traduction antérieure en grec. L’expression « Seigneur tout-puissant » en est un exemple (2 Cor. 6:18, citant 2 Sam 7:8) – s’agissant d’une traduction du nom grec Kyrios Pantokrator. Ce titre provient de l’Ancien Testament en grec qui utilisait cette expression pour traduire l’hébreu YHWH Sabaoth et YHWH El Shaddai.

Les quelques noms hébreux ou araméens qui apparaissent directement dans le Nouveau Testament illustrent également cette continuité. Sur la croix, Jésus s’est écrié dans sa langue maternelle : « Eli, Eli ! ». (Mat 27:46). Matthieu traduit ce cri par theos mou, theos mou en grec(« mon Dieu, mon Dieu »). Jésus cite le Psaume 22, où El et Elohim apparaissent 1 fois chacun, et YHWH 7 fois. Cela illustre une évidence : lorsque le Nouveau Testament utilise le grec theos (1235 fois), il fait référence au Dieu d’Israël.

Nommer le même Dieu comme étant trinitaire

Mais il existe maintenant quelque chose de radicalement nouveau dans le fait de nommer Dieu : Jésus, le Fils de Dieu, participe au nom de Dieu et à son identité. Les noms divins du Nouveau Testament confirment cette réalité.

Les juifs avaient l’habitude de prononcer Adonai lorsqu’ils s’adressaient à YHWH. Ainsi, avant la venue de Christ, l’Ancien Testament grec traduisait YHWH par kyrios (le nom grec d’Adonaï). C’est ainsi que YHWH est entré dans le Nouveau Testament sous le nom de kyrios, où il est utilisé pour désigner Dieu le Père une centaine de fois. Mais il est également utilisé, plus de 700 fois, pour faire référence à Jésus (Actes 2:36 ; Jean 20:28).

Certaines de ces références sont des citations de l’Ancien Testament qui contiennent YHWH, mais ces textes s’appliquent maintenant à Christ. On en trouve de nombreux exemples dans les écrits de Paul (Rom 10:13; 1 Cor 2:16).5 D’autres citations et allusions similaires se retrouvent dans tout le Nouveau Testament (1 Pi 2:3 ; 3:15).

« Jésus est Seigneur (kyrios) » était la confession chrétienne de base, une confession selon laquelle Jésus était effectivement YHWH (Rom 10:9-13 ; Phil 2:9-11). Cette identification est également implicite dans une prière très ancienne : Maranatha ! « Notre Seigneur, viens ! (1 Cor 16:22). Cette prière contient un nom araméen de l’Ancien Testament pour désigner Dieu, Mārē (Dan 2:47). Dans le Nouveau Testament, ce nom désigne le Christ, preuve supplémentaire que les premiers chrétiens adoraient Jésus comme Seigneur. Despótēs, un mot grec moins courant utilisé pour YHWH dans l’Ancien Testament grec, est également utilisé dans le Nouveau Testament pour désigner à la fois Dieu (Luc 2:29) et Christ (Jude 4; 2 Pi 2:1).

Avec la révélation de Dieu en Christ, le nom divin a été réorienté. Cette reconfiguration est complexe : dans sa divinité, Christ est identifié au nom divin (Jean 1:1) ; et dans son humanité, il reçoit le nom de Dieu (Jean 17:11-12). L’épître aux Hébreux rend compte de ce phénomène complexe. Jésus hérite du nom (Héb 1:4), sans doute celui de YHWH. Mais, dans sa divinité, le Fils participe également au nom divin (Héb 1:10-12). En s’identifiant à son peuple, le Fils annonce le nom de Dieu dans l’Église et conduit à la louange (Héb 2.12; Ps 22.22). Grâce à la fonction de grand prêtre de Jésus (Héb 4:14), les croyants, à leur tour, offrent leur louange et confessent avec amour le nom de Dieu (Héb 13:15 ; 6:10).

Mat 28.19 affirme la notion de monothéisme (« le nom ») et, en même temps, la complète par un trinitarisme implicite (« du Père, du Fils et du Saint-Esprit »). Ici, l’unité de l’être de Dieu et la pluralité relationnelle de l’Évangile répondent plus complètement à la question de l’identité de Dieu. Voici son nom : YHWH – le Père, le Fils et le Saint-Esprit. La conception islamique de Dieu est radicalement différente, car l’Islam nomme Dieu Allah mais rejette l’auto-révélation du Seigneur en tant que Dieu trinitaire. Cela a une importance théologique considérable et conduit au rejet de l’Évangile.6

Réponse de l’Église à la révélation du nom de Dieu

Le nom de Dieu, qui inclut désormais celui de « notre Seigneur Jésus-Christ, le Seigneur de gloire », est proclamé sur son peuple issu de la nouvelle alliance (Jac 2:1,7). Ce nom inclut désormais les païens (Actes 15:16-18; Amos 9:11-12). En ce nom, nous trouvons le salut (Luc 24:47; Jean 1:12).

L’Apocalypse décrit la bénédiction et la récompense associées au fait d’être marqué par le nouveau nom de Dieu (Apoc 22:4 ; 3:12, cf. Esa 62:2). Posséder et connaître ce nom est uniquement l’apanage de Christ (Apoc 19.11-16) et de ses disciples ensuite (Apoc 2.17). Ce scénario accomplit la bénédiction de l’Ancien Testament selon laquelle Dieu donnerait son nom aux siens (Nombres 6:27).

Abba (« Père »), un autre nom araméen, était sans doute le préféré de Christ (Marc 14:36). Les croyants réalisent maintenant le désir ancien de connaître Dieu comme un Père (Esa 63:16) alors qu’ils crient, par l’Esprit du Fils, « Abba, Père »(Gal 4:6) !
En tant que prêtres royaux et nation sainte, le peuple de Dieu doit se montrer digne de porter le nom de Dieu (1Pi 2:9-11; cf. 1:15).

Nous ne devons pas porter son nom injustement. Au contraire, nous devons porter fidèlement son nom jusqu’aux extrémités de la terre (Mat 28:19-20 ; Actes 9:15).7 Alors le Seigneur reviendra, le Seigneur même des armées (Jac 5:3,7).

Conclusion

La désignation de Dieu dans la Bible relève de l’auto-révélation salvatrice de Dieu. Il ne s’agit pas d’un dieu générique. Il s’agit du Dieu qui a fait des promesses aux patriarches, du Dieu qui a conclu une alliance avec Israël et du Dieu dont le nom est Père, Fils et Saint-Esprit.8 C’est à ce Dieu que font référence les chrétiens lorsqu’ils parlent de Dieu. A l’adresse du Père, nous nous exclamons : « Alléluia ! ». Avec l’Église ancienne, nous crions : « Viens, Sain-Esprit « . En l’attente du couronnement, nous prions « Maranatha ». Viens vite, Seigneur Jésus !

Dieu se dévoile de plus en plus afin que les hommes puissent appréhender le seul Dieu Saint d’une manière adaptée à leur statut de créatures. Mais Dieu représente plus que ce que l’on peut nommer. C’est peut-être ici que réside l’enseignement toujours actuel à propos de la retenue à l’égard du « nom » (le YHWH tacite de l’Ancien Testament pour le judaïsme et la déférence à l’égard du « nom » des premiers chrétiens).9 Dans toute sa bienveillante révélation de soi, Dieu doit encore être adoré et vénéré en tant que Seul être incompréhensible et absolument parfait. « Que son nom glorieux soit béni éternellement, que toute la terre soit remplie de sa gloire ! Amen et Amen » (Ps 72:19) !

Notes de pied de page

1Sur l’évitement du nom de Dieu dans le NT, cf Mark Allan Powell, éd. The HarperCollins Bible Dictionary, 3e éd. (New York : HarperCollins, 2011), 688.
2Carmen Joy Imes, Bearing YHWH's Name at Sinai : A Reexamination of the Name Command of the Decalogue, Bulletin for Biblical Research Supplement 19 (University Park, PA : Eisenbrauns, 2018), 28, et n. 87.
3John M. Frame, Systematic Theology: : An Introduction to Christian Belief (Phillipsburg, NJ : P&R Publishing, 2013), 383-84.
4cf l'étude d'Imes, Bearing YHWH's Name at Sinai
5cf la belle étude de David B. Capes, The Divine Christ : Paul, the Lord Jesus, and the Scriptures of Israel, Acadia Studies in Bible and Theology (Grand Rapids, MI : Baker Academic 2018), en particulier 111-50.
6cf aussi Daniel J. Ebert IV, " How Does God's Love in Christ Relate to Islam ? ", dans The Love of God, ed. Christopher W. Morgan, Theology in Community (Wheaton, IL : Crossway, 2016), 161-84.
7"Au niveau le plus profond, l'utilisation du nom de Dieu est une question de mission." Terence Fretheim, Exodus, cité dans Imes, Bearing YHWH's Name at Sinai, v.
8Christopher J. H. Wright, The Mission of God : Unlocking the Bible's Grand Narrative (Downers Grove, IL : IVP Academic, 2006), 54.
9R Kendall Soulen, The Divine Name(s) and the Holy Trinity, 1st ed. (Louisville, KY : Westminster John Knox Press, 2011), 177-89, 94-210. Un chercheur recense 2000 exemples de "réserve devant le nom de Dieu" dans le Nouveau Testament (cf ibid., 277 n. 2).

Lectures complémentaires

  • Bray, Gerald Lewis. « Dieu ». Dans le New Dictionary of Biblical Theology, 511-521. Downers Grove, IL : InterVarsity Press, 2000.
  • Capes, David B. The Divine Christ : Paul, the Lord Jesus, and the Scriptures of Israel. Acadia Studies in Bible and Theology. Grand Rapids, MI : Baker Academic 2018. Voir une interview de l’auteur ici.
  • Ebert IV, Daniel J. « How Does God’s Love in Christ Relate to Islam ? ». Dans The Love of God, édité par Christopher W. Morgan. Theology in Community, chapitre 8. Wheaton, IL : Crossway, 2016.
  • Frame, John M. Théologie systématique : An Introduction to Christian Belief. Phillipsburg, NJ : P&R Publishing, 2013.
  • Hood, Jason, « Getting God’s Name Right« , The Gospel Coalition.
  • Imes, Carmen Joy. Bearing Yhwh’s Name at Sinai : A Reexamination of the Name Command of the Decalogue.Bulletin for Biblical Research Supplément 19. University Park, PA : Eisenbrauns, 2018.
  • Morgan, Christopher W. The Love of God. Theology in Community Series. Wheaton, Illinois : Crossway, 2016.
  • Powell, Mark Allan, éd. The HarperCollins Bible Dictionary. 3e éd. New York : HarperCollins, 2011.
  • Sanders, Fred, Klaus Issler et Gerald Lewis Bray. Jesus in Trinitarian Perspective : An Introductory Christology.Nashville, TN : B & H Academic, 2007.
  • Soulen, R. Kendall. The Divine Name(s) and the Holy Trinity. 1ère éd. Louisville, KY : Westminster John Knox Press, 2011.
  • Wright, Christopher J. H.The Mission of God : Unlocking the Bible’s Grand Narrative. Downers Grove, IL : IVP Academic, 2006.

Cet essai fait partie de la série « Concise Theology ». Tous les points de vue exprimés dans cet essai sont ceux de l’auteur. Cet essai est gratuitement disponible sous licence Creative Commons avec Attribution Partage dans les mêmes conditions (CC BY-SA 3.0 US), ce qui permet aux utilisateurs de le partager sur d’autres supports/formats et d’en adapter/traduire le contenu à condition que figurent un lien d’attribution, les indications de changements et que la même licence Creative Commons s’applique à ce contenu. Si vous souhaitez traduire notre contenu ou rejoindre notre communauté de traducteurs, n’hésitez pas à nous contacter.