Gratuit : Replay de la conférence "L'Exode, un peuple délivré"

Dans cet atelier, Dominique nous amène dans son atelier de prédicateur pour nous présenter les outils et les stratégies qui lui semblent les plus utiles pour passer de l’étude du texte à la prédication. Plutôt que de repasser les grandes étapes de la démarche homilétique (disponibles notamment dans sa formation gratuite à la prédication en 30 vidéos), cet atelier offre des compléments pratiques et des nouveautés. Prenant l’exemple d’une prédication donnée dans son Église locale sur un texte de l’Ancien Testament, Dominique nous explique ses stratégies préférées, notamment en ce qui concerne l’organisation de son temps de préparation et l’usage d’outils numériques de qualité.

Si on prend le NT au sérieux, disciple n’est pas tant un nom que l’on porte mais une identité que l’on vit. Le mot de disciple évoque un monde d’expériences, une vie en mouvement, une communauté profonde, une obéissance coûteuse et joyeuse. Dans cet atelier nous défendrons la thèse selon laquelle l’implantation de nouvelles Églises est l’aboutissement d’un discipulat sérieux aux pieds de Jésus et que le discipulat est l’aboutissement de toute implantation d’Église.

Cet atelier donnera un aperçu de l’enseignement de la Bible sur le cœur de Dieu et le cœur du Christ. L’application aux contextes du ministère et à la souffrance humaine sera envisagée. Un temps sera également consacré aux questions et réponses.

Dans un premier temps, nous effectuerons un tour d’horizon des conditions du travail théologique d’aujourd’hui : pluralité et mondialisation des courants théologiques, déchristianisation et résistance face à l’Évangile, relativisme théologique au sein même des évangéliques. Ensuite, nous aborderons deux sujets en particulier : les questions de justice sociale, et un retour sur les discussions des relations entre l’Ancien et le Nouveau Testament.

C’est une question qui nous concerne finalement tous, hommes et femmes ! Comment discerner les différents chemins que Dieu m’appelle à emprunter ? Comment puis-je gérer avec sagesse les diverses possibilités et responsabilités qui me sont offertes, à chaque saison de ma vie ? Nous allons réfléchir à ces questions, fondés sur la Parole de Dieu et à la lumière de notre appel premier : glorifier le Seigneur Jésus-Christ.

Actuellement, nous constatons que la mission à l’échelle mondiale est souvent négligée par quantité d’Églises locales. Est-ce justifié ? La mission mondiale est-elle quasiment achevée comme on l’entend parfois ? Le fardeau des nations serait-il une option pour certaines assemblées qui en ressentiraient plus particulièrement le besoin ou qui y verraient un certain intérêt ? Est-ce la seule responsabilité d’un comité de mission ou de quelques passionnés ? Quel rôle devrait jouer les responsables d’Églises ? Quelle devrait être la place et le rôle des organisations missionnaires ? Autant de questions auxquelles, nous aimerions apporter des éléments de réponse en nous appuyant sur la Parole de Dieu.

Après avoir défendu de grandes causes sociales au XIXe siècle (abolition de l’esclavage, prise en charge des handicapés mentaux, lutte contre la pauvreté), les évangéliques se sont massivement détournés de ces questions au profit du salut de l’âme et de la défense de l’orthodoxie chrétienne dans la première moitié du XXe siècle. Résultat, ils sont considérés comme d’ardents défenseurs de l’éthique individuelle et familiale, en particulier sexuelle, alors que les luthéro-réformés se distinguent par leurs préoccupations sociales : accueil de l’immigrant, défense du pauvre, justice climatique… Même si la réalité est plus complexe que cette caricature médiatique, cela pose la question de la place que fait l’Évangile à la justice sociale et que devraient faire les évangéliques dans leurs combats pour une éthique qui rend témoignage à la sainteté de Dieu.