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LE DIEU QUI SE DÉVOILE, UNE MÉDITATION QUOTIDIENNE PROPOSÉE PAR LES ÉDITIONS CLÉ
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La lecture du jour

Méditation: 2 Corinthiens 2

Ecouter les chapitres du jour sur le site Audio Bible IBG : Exode 14 ; Luc 17 ; Job 32 ; 2 Corinthiens 2

Contrairement à ses intentions, Paul n’a pas rendu visite aux Corinthiens comme il l’avait espéré. Il est peut-être allé les voir en allant en Macédoine, mais certainement pas à son retour, comme il l’avait indiqué (2 Corinthiens 1.16 ; voir la méditation du 1er mars). Certains Corinthiens le lui auraient reproché, l’accusant d’être versatile. Paul leur répond qu’il n’est pas ce genre de personne qui dit oui en pensant non ou l’inverse (2 Corinthiens 1.17). Il ajoute que s’il n’est pas venu à Corinthe, c’était pour les ménager (2 Corinthiens 1.23). Que veut-il dire ?

La réponse se trouve au commencement de 2 Corinthiens 2, qui brosse un tableau saisissant des relations entre l’apôtre et l’une des Églises les plus importantes qu’il a fondées. Paul n’a pas voulu donner suite à son intention de se rendre à Corinthe parce qu’il était persuadé que cette visite serait accompagnée de « tristesse » (v. 1). Une visite antérieure, peut-être avant de se rendre en Macédoine, s’était révélée désastreuse. Avant ou après cette visite (l’ordre n’est pas clair), Paul avait écrit aux Corinthiens une lettre « dans une grande affliction, le cœur serré, avec beaucoup de larmes » (v. 4). Il l’avait fait non pour les attrister, mais pour les assurer de la profondeur de son amour (v. 4). Il semblerait que ce message ait contenu une ferme exhortation à prendre des sanctions contre un membre de l’assemblée qui péchait outrageusement.

On a souvent prétendu que la lettre en question, écrite avec larmes, est 1 Corinthiens, et que l’homme contre lequel l’apôtre demandait des mesures disciplinaires était celui qui couchait avec la femme de son père (1 Corinthiens 5). C’est certainement une interprétation possible. Pourtant, dans son ensemble, la première Épître aux Corinthiens ne semble pas correspondre à la lettre que Paul évoque brièvement en 2 Corinthiens 2.4. Il fait probablement allusion à une autre lettre, qui n’a pas été conservée et qui somme l’Église de Corinthe d’agir fermement. Quelques personnes de Corinthe avaient mené la vie dure à l’apôtre à cet égard. Le bon sens avait néanmoins fini par prévaloir et l’Église s’était rangée à l’avis de Paul (v. 9). Elle avait puni le pécheur récalcitrant, et celui-ci avait fini par se repentir. L’Église est alors encouragée à lever les sanctions prises à l’encontre de cet homme et à lui pardonner (v. 5-10), car un jugement trop sévère risquait de la plonger dans une dureté excessive ; elle serait alors tombée dans un autre des nombreux pièges de Satan en se montrant plus sévère qu’il ne le fallait et en anéantissant les croyants.

C’est très encourageant de voir dans ces interactions la preuve de la vitalité des premières relations entre chrétiens. Le maintien du statu quo n’est pas forcément un signe de vie ; il pourrait même être un signe de mort. Partout où il y a beaucoup de nouveaux convertis, des problèmes surgiront, mais la vie jaillira également.

Méditation: Exode 14

Ecouter les chapitres du jour sur le site Audio Bible IBG : Exode 14; Luc 17; Job 32; 2 Corinthiens 2

Faisons trois remarques à propos de la traversée de la mer Rouge (Exode 14).

1° La confrontation dynamique entre Pharaon et le Dieu souverain continue. D’un côté, Pharaon suit ses désirs et conclut que les Israélites sont pris en étau entre la mer et le désert. Ils constituent donc une proie facile (v. 3). De plus, Pharaon et les grands de sa cour regrettent d’avoir laissé partir le peuple hébreu. La main d’œuvre esclave était l’une des pièces maîtresses de leur système économique, certainement la main d’œuvre la plus impor- tante dans le programme de construction. Ils se disaient sans doute qu’après tout, les plaies n’avaient peut-être été que le résultat d’un malheureux hasard. Il fallait absolument récupérer les esclaves israélites.

Mais Dieu n’est pas un joueur passif dans le déroulement de ces événements, ni simplement quelqu’un qui répond au coup par coup aux initiatives des autres. Il éloigne les Israélites en fuite de la route classique du nord-est, non seulement pour leur éviter de se retrouver nez à nez avec les Philistins (13.17), mais aussi pour faire croire aux Égyptiens que les Israélites sont pris entre le marteau et l’enclume! L’endurcissement du cœur de Pharaon s’inscrit dans cette stratégie (v. 4, 8, 17). La confiance du peuple de Dieu devra se fonder sur la souveraineté radicale et providentielle du Seigneur (v. 31). Mais par-dessus tout, Dieu tient à ce que dans cette confrontation aussi bien les Israélites que les Égyptiens reconnaissent qui il est. « Je serai glorifié par le moyen du Pharaon et de toute son armée […] et les Égyptiens reconnaîtront que je suis l’Éternel, quand j’aurai été glorifié par le S moyen du Pharaon, de ses chars et de ses cavaliers » (v. 17-18). « Israël vit par quelle main puissante l’Éternel avait agi contre les Égyptiens; le peuple craignit l’Éternel. Ils crurent en l’Éternel et en Moïse, son serviteur » (v. 31).

2° « L’Ange de Dieu » réapparaît (v. 19), cette fois-ci non comme un ange mais sous la forme d’une colonne de feu la nuit et d’une colonne de nuée le jour, pour conduire le peuple et établir une séparation avec les pour- suivants égyptiens. Mais on peut aussi dire que « l’Éternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider sur le chemin et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer » (13.21). L’ambiguïté que nous avons déjà signalée (chap. 3; cf. la méditation proposée pour le 20 février) n’est pas levée.

3° Quels que soient les moyens mis en œuvre (comme le vent), ce n’étaient que des moyens auxiliaires dans la séparation des eaux de la mer Rouge; l’événement lui-même, comme les plaies, est présenté comme miraculeux. Nous ne sommes plus dans l’agencement normal de la providence divine dont la régularité rend possible l’exploration scientifique, mais dans une intervention de Dieu contre le cours normal des choses, ce qui rend le miracle unique et donc hors du champ d’investigation de la science. Le fait qu’un peuple puisse traverser une langue de terre sèche entre deux murailles d’eau (v. 21-22) est un prodige que seul le Dieu souverain de la création peut opé- rer, mais que personne d’autre ne peut accomplir.

Exode 14

141 L'Eternel dit à Moïse:2 «Parle aux Israélites; qu'ils reviennent camper devant Pi-Hahiroth, entre Migdol et la mer, vis-à-vis de Baal-Tsephon; c'est en face de cet endroit que vous camperez, près de la mer.3 Le pharaon dira des Israélites: ‘Ils sont perdus dans le pays, prisonniers du désert.’4 J'endurcirai le cœur du pharaon et il les poursuivra; mais le pharaon et toute son armée serviront à faire éclater ma gloire et les Egyptiens sauront que je suis l'Eternel.»5 On annonça au roi d'Egypte que le peuple avait pris la fuite. Alors les dispositions de cœur du pharaon et de ses serviteurs envers le peuple changèrent. Ils se dirent: «Qu'avons-nous fait en laissant partir Israël? Nous n'aurons plus ses services!»6 Le pharaon attela son char et prit son peuple avec lui.7 Il prit 600 chars d'élite ainsi que tous les chars de l'Egypte, chacun avec ses combattants.8 L'Eternel endurcit le cœur du pharaon, roi d'Egypte, et le pharaon poursuivit les Israélites. Pourtant, les Israélites étaient sortis ouvertement d'Egypte.9 Les Egyptiens les poursuivirent et tous les chevaux et les chars du pharaon, ses cavaliers et son armée les rattrapèrent alors qu'ils campaient près de la mer, vers Pi-Hahiroth, vis-à-vis de Baal-Tsephon.10 Le pharaon approchait. Les Israélites levèrent les yeux et virent que les Egyptiens étaient en marche derrière eux. Ils éprouvèrent une grande frayeur et crièrent à l'Eternel.11 Ils dirent à Moïse: «Est-ce parce qu'il n'y avait pas de tombeaux en Egypte que tu nous as emmenés dans le désert pour y mourir? Que nous as-tu fait en nous faisant sortir d'Egypte?12 N'est-ce pas précisément ce que nous te disions en Egypte: ‘Laisse-nous servir les Egyptiens, car nous préférons être esclaves des Egyptiens plutôt que de mourir dans le désert’?»13 Moïse répondit au peuple: «N'ayez pas peur, restez en place et regardez la délivrance que l'Eternel va vous accorder aujourd'hui. En effet, les Egyptiens que vous voyez aujourd'hui, vous ne les verrez plus jamais.14 C'est l'Eternel qui combattra pour vous. Quant à vous, gardez le silence!»15 L'Eternel dit à Moïse: «Pourquoi ces cris? Dis aux Israélites de se remettre en marche.16 Et toi, lève ton bâton, tends ta main sur la mer et fends-la; ainsi les Israélites pénétreront au milieu de la mer à pied sec.17 Quant à moi, je vais endurcir le cœur des Egyptiens pour qu'ils y pénètrent après eux, et le pharaon ainsi que toute son armée, ses chars et ses cavaliers feront éclater ma gloire.18 Les Egyptiens sauront que je suis l'Eternel quand le pharaon, ses chars et ses cavaliers auront fait éclater ma gloire.»19 L'ange de Dieu, qui marchait devant le camp d'Israël, quitta cette position et marcha derrière eux, et la colonne de nuée qui les précédait fit de même.20 Elle se plaça entre le camp des Egyptiens et le camp d'Israël. Cette nuée était obscure d'un côté, et de l'autre elle éclairait la nuit. De toute la nuit, les deux camps ne s'approchèrent pas l'un de l'autre.21 Moïse tendit sa main sur la mer et l'Eternel refoula la mer au moyen d'un vent d'est qui souffla avec violence toute la nuit; il assécha la mer et l'eau se partagea.22 Les Israélites pénétrèrent au milieu de la mer à pied sec et l'eau formait comme une muraille à leur droite et à leur gauche.23 Les Egyptiens les poursuivirent, tous les chevaux du pharaon avec ses chars et ses cavaliers pénétrèrent après eux au milieu de la mer.24 Très tôt le matin, l'Eternel regarda le camp des Egyptiens depuis la colonne de feu et de nuée, et il sema le désordre dans le camp des Egyptiens.25 Il fit dévier les roues de leurs chars et rendit ainsi leur conduite difficile. Les Egyptiens dirent alors: «Prenons la fuite devant Israël, car l'Eternel combat pour lui contre nous.»26 L'Eternel dit à Moïse: «Tends ta main sur la mer et l'eau reviendra sur les Egyptiens, sur leurs chars et leurs cavaliers.»27 Moïse tendit sa main sur la mer. Vers le matin, la mer reprit sa place. Les Egyptiens prirent la fuite à son approche, mais l'Eternel les précipita au milieu de la mer.28 L'eau revint et couvrit les chars, les cavaliers et toute l'armée du pharaon qui avaient pénétré dans la mer après les Israélites. Il n'y eut pas un seul rescapé.29 Quant aux Israélites, ils marchèrent à pied sec au milieu de la mer et l'eau formait comme une muraille à leur droite et à leur gauche.30 Ce jour-là, l'Eternel sauva Israël de la main des Egyptiens. Israël vit les Egyptiens morts sur le rivage de la mer,31 et il vit la main puissante que l'Eternel avait dirigée contre les Egyptiens. Le peuple craignit l'Eternel et il eut confiance en l'Eternel et en son serviteur Moïse.

2 Corinthiens 2

21 J'ai donc décidé en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse.2 En effet, si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui que j'ai attristé?3 J'ai écrit comme je l'ai fait pour ne pas être attristé, à mon arrivée, par ceux qui devaient me donner de la joie; car en ce qui vous concerne, je suis convaincu que ma joie est aussi la vôtre, à vous tous.4 C'est dans une grande souffrance, le cœur angoissé et avec beaucoup de larmes que je vous ai écrit, non pas afin de vous attrister, mais afin que vous sachiez quel amour débordant j'ai pour vous.5 Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, c'est vous tous, du moins dans une certaine mesure, pour ne rien exagérer.6 Le blâme qui lui a été infligé par la majorité d'entre vous est suffisant pour cet homme.7 Maintenant, au contraire, vous devez plutôt lui pardonner et l'encourager, de peur qu'il ne soit accablé par une tristesse excessive.8 Je vous engage donc à faire preuve d'amour envers lui,9 car je vous ai aussi écrit dans le but de savoir, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants à tout point de vue.10 Or à qui vous pardonnez, je pardonne aussi; et si j'ai pardonné quelque chose à quelqu'un, je l'ai fait à cause de vous, en présence de Christ,11 afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses intentions.12 Quand je suis arrivé à Troas pour annoncer l'Evangile de Christ, bien que le Seigneur m'y ait ouvert une porte, je n'avais pas l'esprit en repos parce que je n'avais pas trouvé mon frère Tite.13 C'est pourquoi j'ai pris congé d'eux et je suis parti pour la Macédoine.14 Que Dieu soit remercié, lui qui nous fait toujours triompher en Christ et qui propage partout, à travers nous, le parfum de sa connaissance!15 Nous sommes en effet pour Dieu la bonne odeur de Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent:16 pour les uns, un parfum de mort qui donne la mort, pour les autres, un parfum de vie qui donne la vie. – Et pour cette mission, qui donc est qualifié? –17 En effet, nous ne falsifions pas la parole de Dieu, comme le font les autres, mais c'est avec pureté, c'est de la part de Dieu, en Christ et devant Dieu que nous parlons.

Luc 17

171 Jésus dit à ses disciples: «Il est inévitable qu'il y ait des pièges, mais malheur à celui qui en est responsable!2 Il vaudrait mieux pour lui qu'on attache à son cou une meule de moulin et qu'on le jette à la mer, plutôt qu'il ne fasse trébucher un seul de ces petits.3 Faites bien attention à vous-mêmes. Si ton frère a péché [contre toi], reprends-le et, s'il reconnaît ses torts, pardonne-lui.4 S'il a péché contre toi 7 fois dans une journée et que 7 fois [dans la journée] il revienne [vers toi] et dise: ‘J'ai eu tort’17.4 J'ai eu tort: ou je me repens ou je vais changer d'attitude (même verbe grec qu'au verset 3)., tu lui pardonneras.»5 Les apôtres dirent au Seigneur: «Augmente notre foi.»6 Le Seigneur dit: «Si vous aviez de la foi comme une graine de moutarde, vous diriez à ce mûrier: ‘Déracine-toi et va te planter dans la mer’, et il vous obéirait.7 »Si l'un de vous a un esclave qui laboure ou garde les troupeaux, lui dira-t-il, à son retour des champs: ‘Viens tout de suite te mettre à table’?8 Ne lui dira-t-il pas au contraire: ‘Prépare-moi à souper, ajuste ta tenue pour me servir jusqu'à ce que j'aie mangé et bu; après cela, toi, tu mangeras et tu boiras’?9 A-t-il de la reconnaissance envers cet esclave parce qu'il a fait ce qui lui était ordonné? [Je ne pense pas.]10 Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites: ‘Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire.’»11 Alors qu'il se rendait à Jérusalem, Jésus passa entre la Samarie et la Galilée.12 Comme il entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Ils se tinrent à distance13 et se mirent à lui dire: «Jésus, maître, aie pitié de nous!»14 Lorsqu'il les vit, Jésus leur dit: «Allez vous montrer aux prêtres.» Pendant qu'ils y allaient, ils furent guéris.15 L'un d'eux, se voyant guéri, revint sur ses pas en rendant gloire à Dieu à haute voix.16 Il tomba le visage contre terre aux pieds de Jésus et le remercia. C'était un Samaritain.17 Jésus prit la parole et dit: «Les dix n'ont-ils pas été guéris? Et les neuf autres, où sont-ils?18 Ne s'est-il trouvé que cet étranger pour revenir et rendre gloire à Dieu?»19 Puis il lui dit: «Lève-toi, vas-y, ta foi t'a sauvé.»20 Les pharisiens demandèrent à Jésus quand viendrait le royaume de Dieu. Il leur répondit: «Le royaume de Dieu ne vient pas en se faisant remarquer.21 On ne dira pas: ‘Il est ici’, ou: ‘Il est là.’ En effet, le royaume de Dieu est au milieu de vous.»22 Puis il dit aux disciples: «Un temps viendra où vous désirerez voir même un seul des jours du Fils de l'homme, et vous ne le verrez pas.23 On vous dira: ‘Il est ici’, ‘Il est là.’ N'y allez pas, n'y courez pas.24 En effet, tout comme l'éclair resplendit et brille d'une extrémité du ciel à l'autre, ainsi sera le Fils de l'homme dans son jour.25 Mais il faut auparavant qu'il souffre beaucoup et qu'il soit rejeté par cette génération.26 »Ce qui est arrivé à l'époque de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l'homme.27 Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu'au jour où Noé est entré dans l'arche, puis le déluge est venu et les a tous fait mourir.28 Ce sera comme à l'époque de Lot: les hommes mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, construisaient,29 mais le jour où Lot est sorti de Sodome, une pluie de feu et de soufre est tombée du ciel et les a tous fait mourir.30 Il en ira de même le jour où le Fils de l'homme apparaîtra.31 »Ce jour-là, que celui qui sera sur le toit et qui aura ses affaires dans la maison ne descende pas pour les prendre et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas non plus en arrière.32 Souvenez-vous de la femme de Lot17.32 La femme de Lot: transformée en statue de sel pour avoir regardé en arrière lors du départ de Sodome (Genèse 19.26)..33 Celui qui cherchera à sauver sa vie la perdra, et celui qui la perdra la conservera.34 Je vous le dis, cette nuit-là, deux personnes seront dans un même lit: l'une sera prise et l'autre laissée;35 deux femmes moudront ensemble: l'une sera prise et l'autre laissée;36 [deux hommes seront dans un champ: l'un sera pris et l'autre laissé.]»37 Les disciples lui dirent: «Où cela se passera-t-il, Seigneur?» Il répondit: «Là où sera le corps, là se rassembleront [aussi] les vautours.17.37 Là où… vautours: citation de Job 39.30.»

Job 32

321 Ces trois hommes cessèrent de répondre à Job parce qu'il se considérait comme juste.2 Alors Elihu, fils de Barakeel, originaire de Buz et membre du clan de Ram, se mit en colère. Il se mit en colère contre Job parce qu'il se prétendait juste devant Dieu,3 et il se mit en colère contre ses trois amis parce qu'ils ne trouvaient rien à répondre et condamnaient ainsi Dieu.4 Comme ils étaient plus âgés que lui, Elihu avait attendu jusqu'à ce moment pour parler à Job.5 Lorsqu'il vit que les trois hommes n'avaient plus rien à dire, il se mit en colère.6 Elihu, fils de Barakeel, originaire de Buz, prit la parole et dit:7 Je me disais: ‘L'expérience parlera,8 Mais en réalité, dans l'homme, c'est l'Esprit32.8 L'Esprit: ou l'esprit.,9 Ce n'est pas le grand nombre d'années qui procure la sagesse,10 Voilà pourquoi je dis: ‘Ecoute-moi!11 »J'ai attendu la fin de vos discours,12 Je vous ai accordé toute mon attention,13 Ne dites pas cependant:14 »Il ne s'est pas adressé directement à moi,15 Ils sont effrayés, ils ne répondent plus!16 J'ai attendu qu'ils aient fini leurs discours.17 à mon tour je vais répondre,18 En effet, je suis rempli de paroles,19 A l'intérieur de moi, c'est comme du vin sous pression,20 Je dois parler pour me soulager,21 Je ne ferai preuve d'aucun favoritisme22 De fait, je ne sais pas flatter: